Comment dire non ? Pourquoi faut-il savoir dire non ? Quelles sont les solutions à adopter pour vaincre sa peur de dire non ?

Si vous lisez cet article aujourd’hui, c’est que probablement vous avez certainement besoin d’ériger des limites dans votre vie et vous avez passé plusieurs années à vivre dans la permissivité .

Vous qui ne savez pas dire non, sachez qu’un manque de confiance en soi est souvent  à l’origine de ce souci qui vous fait suffoquer.

L a confiance en soi se travaille et se regagne   pour y arriver, il faudra oser s’affirmer .

Pourquoi faut-il dire « non » ?

Nous vivons en société, et nous sommes tous évalués suivant nos capacités et aptitudes . Dans la vie familiale, la vie de couple, la vie professionnelle  chacun présente un intérêt pour l’autre.

Par conséquent, nous sommes toujours sollicités pour une raison ou une autre et ne pas oser dire « non » c’est :

  • Laisser les autres faire ce qu’ils veulent de notre existence ;
  • Ne pas croire en soi suffisamment et se laisser manipuler ;
  • Ne plus avoir du temps pour soi, car on passe plus de temps à faire plaisir aux autres ;
  • Perdre son énergie dans des activités dont on se moque ;
  • Se fatiguer plus qu’il ne le faut au détriment de  nos propres obligations.

En bref, il faut oser s’affirmer, « oser dire non », pour vivre pleinement sa propre vie et ne plus subir  des contraintes inutiles .

Pourquoi est-ce difficile de dire « non » ?

Dire non n’est pas toujours facile, parce que depuis la petite enfance, on nous a appris à plaire aux autres. A l’école et à la maison, agir suivant les demandes des éducateurs et des parents génère une récompense, le contraire entraine une  punition. D’une manière ou d’une autre à cause de ce système, nous sommes tous programmés pour répondre positivement aux demandes des autres .

Seulement, ces directives reçues à la petite enfance ne devraient nous transformer en machine à dire « oui ».

La peur de dire non est provoqué aussi par  une peur de perdre, d’être abandonné, de ne pas être assez bien aux yeux des autres. Toutes ces peurs nous empêchent donc de nous affirmer.

Comment apprendre à dire « non » ?

Travailler sur soi permet d’apprendre à dire « non » , le coaching individuel peut vous aider.

Apprenez aussi à dire non, en définissant vos priorités tous les jours. Dans votre rituel du matin, notez  déjà vos activités prévues  (travail, loisir, passion, repos, etc.) et complétez avec celles qui vous plaisent .

Si on vous demande de faire une telle ou une telle chose dans la journée,  vous avez le droit de dire « non » courtoisement.

Pour dire « non », il faut aussi s’accepter soi-même. Acceptez le fait que vous êtes une personne  ayant le droit de mener une existence dictée par ses propres choix.

En résumé, dire « non » est libérateur. Ce « non » que vous prononcez au moment opportun vous permet de regagner votre confiance en vous.

Dire non vous permettra surtout de mieux profiter de votre  existence , le coaching est une bonne solution et en quelques séances vous profiterez de ses bienfaits.

Je vous invite dès à présent à découvrir les témoignages des coachés , vous avez le droit de « dire non » bien évidemment 😜

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Prenez soin de vous .

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Comment bien vous vendre si vous ne vous connaissez pas bien ? Il est difficile d’être juge et partie. Votre coach est là pour ça. Je vous raconte :

«  Un jour, Victor, l’un de mes clients qui était venu me consulter pour la création de son logo et de ses outils de communication, a décidé d’emblée de s’inscrire dans la formule contenant le coaching préalable. Il me raconte les raisons de sa décision.

Son business plan était parfait, les bureaux étaient prêts, bref tout se présentait sous les meilleurs auspices. Débutant sa carrière d’entrepreneur, Victor voulait se présenter au mieux pour son premier jour de travail et devait procéder à une séance photo pour illustrer son site web et ses réseaux sociaux.

Il s’achète une tenue vestimentaire adéquate, se fait raser chez le barbier, se fait faire une nouvelle coupe de cheveux pour paraître sérieux et dynamique. Puis il se rend chez un photographe professionnel dont les travaux sont remarquables. Victor avait investi une somme importante dans toute cette préparation et tout correspondait à l’idée qu’il voulait donner de lui-même. Pourtant quelque chose clochait dans les photos. Elles cochaient toutes les cases de réussite, mais Victor ne se reconnaissait pas dans ce reflet. Son sourire était figé et manquait de naturel.

Impossible de trouver ce qui n’allait pas. Il s’apprêtait à acheter d’autres vêtements qui lui iraient peut-être mieux, et ce budget commençait à lui peser. Il ne voulait pas commettre la même erreur avec ses outils de communication. Il était persuadé que s’il était accompagné, il ferait l’économie de ses erreurs.

Le coaching mit en évidence deux traits de caractère de Victor : sa générosité et son grand sens de l’humour. Il n’osait pas les assumer dans sa posture de chef d’entreprise. Il prit également conscience qu’il n’aimait pas ses lunettes, et qu’elles n’allaitent ni avec son look ni avec son image. Elles étaient la cause principale de son air triste et rébarbatif. Mais cela ne lui avait pas sauté aux yeux, si l’on peut dire. Parce qu’il ne savait pas où regarder.

Victor n’a pas eu besoin de beaucoup de séances de coaching pour apprendre à intégrer et valoriser ses traits de caractère, et comprendre comment en faire une force sur laquelle s’appuyer pour se distinguer de ses concurrents. J’ai pu alors créer une identité visuelle qui, tout en véhiculant un grand professionnalisme et une solide expertise, mettait en valeur sa vraie personnalité. Généreuse et joyeuse !

Il a ensuite changé de lunettes et refait une séance photo du « vrai » Victor.

Aujourd’hui il est fier de son logo, des couleurs de sa charte graphique et des visuels choisis spécialement pour son activité et sa personnalité profonde. Il regarde aussi avec plaisir ses photos officielles publiées sur les réseaux sociaux.

Sa vraie personnalité est alignée avec le chef d’entreprise qu’il est. L’histoire ne s’arrête pas là. Victor est tellement « bien dans sa peau » qu’il se sent parfaitement légitime et détendu dans sa posture professionnelle et les rendez-vous avec des clients intéressants se font de plus en plus nombreux. Il a dépassé de 20 % les chiffres de son business plan dès sa deuxième année d’activité. »