C’est la question que vous vous posez sans aucun doute, perdu dans la multitude de définitions qui s’inscrivent derrière ce terme.

Je suis coach et je n’aime pas me mettre en avant. Et pourtant je me suis rendu compte que vous avez du mal à choisir parmi toutes les personnes qui exercent cette profession et dont vous trouvez les coordonnées sur le web en tapant le mot coach, coach de vie, coach professionnel, développement personnel et autres mots-clé utilisés pour apparaître dans les meilleurs résultats des moteurs de recherche.

Mon objectif est de travailler en toute transparence pour vous permettre de mieux me connaitre avant de me confier une partie de votre vie, ou du fonctionnement de vos équipes s’il s’agit d’un coaching professionnel. Alors aujourd’hui, pour vous éclairer, je vais vous parler de mon parcours et de l’organisme auprès duquel j’ai obtenu mes certifications.

Suivez-moi dans les coulisses de la formation professionnelle de votre coach de vie…

Le coaching et la règlementation de la profession

L’exercice du coaching professionnel n’est soumis à aucune réglementation précise. Il s’est fortement développé ces dernières années et de manière parfois désordonnée. Pour vous fournir quelques repères dans ce chaos, l’ICF (International Coaching Federation) en collaboration avec l’European Mentoring and Coaching Council, a déposé un texte auprès du Comité Economique et Social Européen, donnant une définition commune et précisant les compétences de base du coach. Ce texte débouche sur une accréditation ou une certification professionnelle rigoureuse. Il vous garantit que le coach accrédité ou certifié a suivi une formation spécifique au coaching et a souscrit au code de déontologie.  Ce qui l’engage à

  • l’obligation du secret professionnel.
  • l’interdiction d’exercer tout abus d’influence.
  • la nécessité de respecter la limite de ses compétences professionnelles.
  • l’établissement de contrats clairs avec ses clients

Coach certifié ICF : une certification complexe à renouveler tous les trois ans

L’ICF, est la plus importante et la plus ancienne fédération internationale de coachs professionnels. Fondée en 1995, elle a formé et certifié plus de 41 000 coachs dans 158 pays. Elle vise l’excellence professionnelle, tant pour elle que pour les coachs qu’elle forme.

Elle dispense trois niveaux de certification aux acronymes anglais : ACC (coach certifié), PCC (certification de coach professionnel) MCC (master de coach certifié).

En savoir plus : Coaching Professionnel ICF France,

Coach certifié PCC niveau 2 : 500 heures d’expérience de coaching

Pour être autorisée à passer ma seconde certification,en 2023,  j’ai dû justifier à nouveau des mêmes 125 heures de formation et rendre un gros dossier justifiant qu’elle :
  • est complète
  • inclut la définition du coaching selon ICF
  • couvre le code d’éthique selon ICF
  • couvre les 11 compétences de base
  • est organisée selon un cadre et un ordre qui encourage votre développement en tant que coach
  • Parmi les pièces à verser au dossier, j’ai dû fournir deux enregistrements de deux séances de coaching et justifier de 500 heures d’expérience en coaching.

Et ensuite ? Si vous pensez que je suis certifiée à vie, c’est une erreur. Une certification n’est pas un sésame ad aeternam qui permet au coach de l’ICF de dormir sur les lauriers de la suffisance. La durée de validité de ma certification est de trois ans, au terme de laquelle elle peut être renouvelée selon un processus similaire.

LA VALIDATION DES COMPÉTENCES DU COACH SUPERVISÉ

On parle de sciences humaines, d’équilibre, de confiance, de sécurité.

Le coach certifié par l’ICF est supervisé pour sa certification, et ensuite tous les trois ans. Le certificat est renouvelé régulièrement pour attester non seulement de ses compétences, mais aussi de son équilibre psychologique, émotionnel et de sa capacité à prendre le recul nécessaire à une vraie posture professionnelle. C’est un guide, un garant de la sécurité du cadre dans lequel évolue la personne qu’il accompagne.

Il est donc formé également à reconnaitre les limites du coaching. Il a la capacité de déceler si son client présente une problématique qui n’est pas de son ressort. Son devoir est de lui faire savoir.

LE DÉVELOPPEMENT DE MA MISSION DE COACH.

J’ai désormais développé une réelle expertise. Chacun de mes clients m’a émue à sa manière. Et ma plus belle récompense est la lumière de soulagement, de compréhension, de gratitude qui éclaire son visage à la fin du processus de coaching. Je n’abandonne jamais personne sur le bord du chemin.  Et je n’ai pas l’intention de m’arrêter là. Mon projet est de passer à l’étape supérieure. L’ICF a prévu plusieurs degrés de formation. Les franchir pour être toujours plus chevronnée dans l’accompagnement de votre développement personnel est une étape. Devenir mentor pour former des coachs et développer la professionnalisation des coachs, pour le bien de tous, est mon prochain défi. 

On ne peut pas jouer à l’apprenti sorcier. Vous avez un projet de vie ou un projet professionnel ?

Vous l’ignorez peut-être, mais toutes les clés de sa réussite sont déjà réunies dans votre esprit. 

🎈 Pour un rdv de 15mn  et un premier échange GRATUIT : PRENDRE RDV

Votre image fait partie de votre personal branding

Comment bien vous vendre si vous ne vous connaissez pas bien ? Il est difficile d’être juge et partie. Votre coach est là pour ça. Je vous raconte :

«  Un jour, Victor, l’un de mes clients qui était venu me consulter pour la création de son logo et de ses outils de communication, a décidé d’emblée de s’inscrire dans la formule contenant le coaching préalable. Il me raconte les raisons de sa décision.

Son business plan était parfait, les bureaux étaient prêts, bref tout se présentait sous les meilleurs auspices. Débutant sa carrière d’entrepreneur, Victor voulait se présenter au mieux pour son premier jour de travail et devait procéder à une séance photo pour illustrer son site web et ses réseaux sociaux.

Il s’achète une tenue vestimentaire adéquate, se fait raser chez le barbier, se fait faire une nouvelle coupe de cheveux pour paraître sérieux et dynamique. Puis il se rend chez un photographe professionnel dont les travaux sont remarquables. Victor avait investi une somme importante dans toute cette préparation et tout correspondait à l’idée qu’il voulait donner de lui-même. Pourtant quelque chose clochait dans les photos. Elles cochaient toutes les cases de réussite, mais Victor ne se reconnaissait pas dans ce reflet. Son sourire était figé et manquait de naturel.

Impossible de trouver ce qui n’allait pas. Il s’apprêtait à acheter d’autres vêtements qui lui iraient peut-être mieux, et ce budget commençait à lui peser. Il ne voulait pas commettre la même erreur avec ses outils de communication. Il était persuadé que s’il était accompagné, il ferait l’économie de ses erreurs.

Le coaching mit en évidence deux traits de caractère de Victor : sa générosité et son grand sens de l’humour. Il n’osait pas les assumer dans sa posture de chef d’entreprise. Il prit également conscience qu’il n’aimait pas ses lunettes, et qu’elles n’allaitent ni avec son look ni avec son image. Elles étaient la cause principale de son air triste et rébarbatif. Mais cela ne lui avait pas sauté aux yeux, si l’on peut dire. Parce qu’il ne savait pas où regarder.

Victor n’a pas eu besoin de beaucoup de séances de coaching pour apprendre à intégrer et valoriser ses traits de caractère, et comprendre comment en faire une force sur laquelle s’appuyer pour se distinguer de ses concurrents. J’ai pu alors créer une identité visuelle qui, tout en véhiculant un grand professionnalisme et une solide expertise, mettait en valeur sa vraie personnalité. Généreuse et joyeuse !

Il a ensuite changé de lunettes et refait une séance photo du « vrai » Victor.

Aujourd’hui il est fier de son logo, des couleurs de sa charte graphique et des visuels choisis spécialement pour son activité et sa personnalité profonde. Il regarde aussi avec plaisir ses photos officielles publiées sur les réseaux sociaux.

Sa vraie personnalité est alignée avec le chef d’entreprise qu’il est. L’histoire ne s’arrête pas là. Victor est tellement « bien dans sa peau » qu’il se sent parfaitement légitime et détendu dans sa posture professionnelle et les rendez-vous avec des clients intéressants se font de plus en plus nombreux. Il a dépassé de 20 % les chiffres de son business plan dès sa deuxième année d’activité. »